Au cours des sept derniers jours j'ai écouté 277 fois The Mars Volta (statistiques de Last fm). Sur le pécé donc. Plus les fois où j'écoutais les disques dans ma chambre. Enfin bref, la marsvoltite m'a prise cette semaine sans que je puisse rien n'y faire. Même quand je n'écoutais pas de musique les titres tournaient en boucle dans ma tête.
Comment dire... The Mars Volta, c'est la musique.
Maxïmo Park me plait parce que ça me touche personnellement, parce que des diques comme Our Earthly Pleasures te donnent cette impression de raconter ta vie. Mais ça ne concerne que la partie littéraire de leur musique, leur poésie (la poésie est aussi une forme de musique). Certes, Our Earthly Pleasures est bourré de jolis arrangements instrumentaux, plus que A Certain Trigger qui tirait sa force de l'énergie que dégageaient ses titres. Le groupe nous livre une oeuvre relativement originale et créative...
Chaque album est un "concept" différent et marque un chapitre dans l'histoire du groupe. Pour en savoir plus, même si je sais que personne n'aura la curiosité de lire les genèses des albums et encore moins de les écouter, voici quand même un lien intéressant: http://tmvfr.info/home.html
L'histoire qui a donné lieu au dernier album est particulièrement flippante.
Si tu veux m'offrir le plus beau des cadeaux, offre-moi un billet pour un de leurs concerts. Un concert d'un groupe qui s'investit tant dans la musique ne peut être qu'excellent. Et encore, le mot est faible.
J'ai écouté The Mars Volta et j'ai vu la lumière. Hahahaha. C'est ce genre de groupe qui confirme mon idée de la musique: quand on l'aime vraiment, on ne se cantonne pas dans un genre. Et ceci est autant valable pour les auditeurs que pour les musiciens. Mais surtout pour les auditeurs.

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire